Blog d'étude critique et académique du fait maçonnique, complémentaire de la revue du même nom. Envisage la Franc-Maçonnerie comme un univers culturel dont l’étude nécessite d’employer les outils des sciences humaines, de procéder à une nette séparation du réel et du légendaire et de procéder à la prise en compte de ce légendaire comme un fait social et historique.
Pourrais-tu rappeler d’abord ce que représente la structure que tu diriges et quelques éléments de son histoire ?
« Jusqu’en 1999, à la Grande loge féminine de France (GLFF), il n’était pas possible de poursuivre son chemin au Rite français au-delà de la maîtrise. Les Sœurs qui désiraient approfondir le symbolisme ne pouvaient que rejoindre les ateliers supérieurs du Rite écossais ancien et accepté (REAA), à condition d’y être cooptées. En 1999, le Grand chapitre provisoire du Rite français fut constitué par dix-neuf Sœurs de la GLFF qui furent reçues dans les Ordres de sagesse par les Frères du Grand chapitre général du Grand orient de France (GODF). La GLFF se vit remettre la patente des Ordres de sagesse par le GODF, à charge pour elle de la transmettre aux Sœurs fondatrices dès la constitution du Grand chapitre général féminin de France (GCGFF) »...
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