Blog d'étude critique et académique du fait maçonnique, complémentaire de la revue du même nom. Envisage la Franc-Maçonnerie comme un univers culturel dont l’étude nécessite d’employer les outils des sciences humaines, de procéder à une nette séparation du réel et du légendaire et de procéder à la prise en compte de ce légendaire comme un fait social et historique.
Jean-Luc Buard, spécialiste incontesté de Marie Aycard (lire son article dans Critica Masonica n°1), nous présente un nouveau texte de cet écrivain (1794-1859) qui fut l’un des principaux producteurs de romans feuilleton au cœur du XIXe siècle et fut traduit dans de nombreux pays, même s’il est aujourd’hui passablement occulté. Aycard connut une jeunesse maçonnique dans la loge de son père, Vénérable de la Française de Saint-Louis de Marseille. Il semble s’être souvenu de cette période à Paris où il était installé depuis 1823, en publiant en 1845 dans L’Orient, périodique dirigé par Bègue-Clavel (lire l’article de Jean-Pierre Bacot dans Critica Masonica n° 1). Dans la nouvelle que Jean-Luc Buard présente ici : Le sous préfet et le comédien, Florimond, ancien navigateur devenu acteur, va croiser un représentant de l’État et ils vont doublement se reconnaître.
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Et retrouvez Critica Masonica au 13e « Salon maçonnique du livre de Paris ».