Blog d'étude critique et académique du fait maçonnique, complémentaire de la revue du même nom. Envisage la Franc-Maçonnerie comme un univers culturel dont l’étude nécessite d’employer les outils des sciences humaines, de procéder à une nette séparation du réel et du légendaire et de procéder à la prise en compte de ce légendaire comme un fait social et historique.
Les débuts obscurs du tango dans les bas quartiers de Buenos Aires à la fin du xixe siècle sont sources de bien des mythes... Beaucoup croient que ce sont des hommes dansant ensembles dans les maisons closes qui sont à l’origine de cette danse et que les femmes n’y ont participé que comme des poupées de chiffon. Passionnée de longue date du genre, l’auteure a exploré les origines de cette forme d’art essentiellement argentine dans un cours intitulé « L’histoire sociale et politique du tango » avec le Pr. Gustavo Varela à la Fédération latino-américaine de sciences sociales à Buenos Aires. C’est en examinant des rapports de police, des données de recensement, des articles de journaux d’époque et des études réalisées par des historiens argentins, que l’auteure a découvert le rôle protagoniste des femmes dans la musique, les paroles et la danse du tango.
Lire l’article complet dans le N°15 de Critica Masonica, disponible ici